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Mercredi, par suite d'un mouvement de grève des personnels de sécurité, l'aéroport de la capitale hongroise a vu son fonctionnement menacé avec pas moins de 50 vols annulés. Depuis, c'est le chaos et nul ne sait quand la grève s'arrêtera
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Menée par deux syndicats après l'échec des négociations avec la direction concernant les termes de l'amélioration des contrats de travail, cette grève a été lancée pour une durée illimitée. Même si l'aéroport n'a pas été entièrement paralysé avec un fonctionnement partiel du terminal 2B qui assurait deux points de contrôle, les halls de Ferihegy ont été le théâtre d'une belle pagaille avec des passagers désemparés et contraints pour la plupart de retarder leur départ. Le syndicat des employés de l'aéroport et des prestataires de services (RDSZSZ) et le syndicat associé des transports aériens (LESZ) protestent d'une part contre l'amendement de la convention collective par la société Budapest Airport et d'autre part contre le projet de restructuration en cours actuellement pour limiter les dépenses de la société en cette période de conjoncture économique défavorable. Les deux parties campent sur leurs positions puisque les dirigeants ne sont prêts à entamer les négociations que si le mouvement s'arrête.
Ferihegy s'organise pour faire face à la poursuite du mouvementFace à ces difficultés, l'aéroport a dû s'adapter et compenser l'absence de fonctionnement du terminal 1 en transférant des vols sur le terminal 2 situé 8 km plus loin. Un leader des employés en grève, Zoltan Kovacs, a indiqué que "les syndicats sont prêts à négocier avec les directeurs de l'aéroport mais ne suspendront pas leur grève". En l'absence de dialogue entre les deux parties, le mouvement risque donc de devoir durer.Ce week-end, l'aéroport a mis en place des cordons pour décongestionner les halls mais des retards et des annulations sont encore attendus et les voyageurs sont invités à entrer en contact avec leur compagnie aérienne avant de se rendre à Ferihegy.
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Menée par deux syndicats après l'échec des négociations avec la direction concernant les termes de l'amélioration des contrats de travail, cette grève a été lancée pour une durée illimitée. Même si l'aéroport n'a pas été entièrement paralysé avec un fonctionnement partiel du terminal 2B qui assurait deux points de contrôle, les halls de Ferihegy ont été le théâtre d'une belle pagaille avec des passagers désemparés et contraints pour la plupart de retarder leur départ. Le syndicat des employés de l'aéroport et des prestataires de services (RDSZSZ) et le syndicat associé des transports aériens (LESZ) protestent d'une part contre l'amendement de la convention collective par la société Budapest Airport et d'autre part contre le projet de restructuration en cours actuellement pour limiter les dépenses de la société en cette période de conjoncture économique défavorable. Les deux parties campent sur leurs positions puisque les dirigeants ne sont prêts à entamer les négociations que si le mouvement s'arrête.
Ferihegy s'organise pour faire face à la poursuite du mouvementFace à ces difficultés, l'aéroport a dû s'adapter et compenser l'absence de fonctionnement du terminal 1 en transférant des vols sur le terminal 2 situé 8 km plus loin. Un leader des employés en grève, Zoltan Kovacs, a indiqué que "les syndicats sont prêts à négocier avec les directeurs de l'aéroport mais ne suspendront pas leur grève". En l'absence de dialogue entre les deux parties, le mouvement risque donc de devoir durer.Ce week-end, l'aéroport a mis en place des cordons pour décongestionner les halls mais des retards et des annulations sont encore attendus et les voyageurs sont invités à entrer en contact avec leur compagnie aérienne avant de se rendre à Ferihegy.
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