Un incident aboutissant à un changement quasiment total du visage d’un pays est l’équation d’un nouveau monde plus que nucléaire conjuguée au-delà du plus que parfait et débutant au Nord de l’Afrique.
De ce même côté de la mer, l’ondulation passe d’un pays à l’autre pour atteindre une plus grande envergure là où s’enchevêtrent l’histoire et la géographie créant un noyau de changement probable du Proche-Orient.
Et encore, la révolution Pharaonique serait-elle sans conséquences sur les tensions et les conflits du continent voisin ?
Géopolitique, sociologie, et psychologie de masses essayent d’expliquer le phénomène, mais au niveau des peuples qui sera le bénéficiant ?
Il parait que la démocratisation a débuté de l’Afrique – origine de l’humanité, d’après une théorie Américaine –, mais il faut se garder contre les opportunités largement utilisables par les mouvements extrémistes et les contrecoups à leur insu de part et d’autre des 2.500.000 km2 d’eau.
L’accélération des événements augmente à la fois la tension et la jouissance dans une ambivalence partagée de part et d’autre de la Méditerranée.
Mais à l’Est où l’enchevêtrement des conflits géopolitiques constitue une des causes essentielles indirectes de la plupart des grands attentats à grandes distances, la vue reste moins claire.
Et encore plus loin dans la même direction, un géant économique s’apprête à enlever son chapeau de paille sous lequel se débattent les pulsions. Il serait inutile de comparer le bruit fait par les 80 millions descendants des Pharaons avec celui des milliards et quelques de la culture de la soie.
En revenant à une Méditerranée Euro-Arabe traversée par la limite Nord/Sud entre pays du tiers monde et pays développés, un changement d’une telle ampleur pourrait avoir des répercussions sur la partie Nord de la rive où l’Union est encore trop jeune.
Si ce n’est pas une manifestation mondiale de la loi de série, ce sera alors un coup de maître en géopolitique qui a bien calculé ses gains dans trois continents d’une seule tire.
De ce même côté de la mer, l’ondulation passe d’un pays à l’autre pour atteindre une plus grande envergure là où s’enchevêtrent l’histoire et la géographie créant un noyau de changement probable du Proche-Orient.
Et encore, la révolution Pharaonique serait-elle sans conséquences sur les tensions et les conflits du continent voisin ?
Géopolitique, sociologie, et psychologie de masses essayent d’expliquer le phénomène, mais au niveau des peuples qui sera le bénéficiant ?
Il parait que la démocratisation a débuté de l’Afrique – origine de l’humanité, d’après une théorie Américaine –, mais il faut se garder contre les opportunités largement utilisables par les mouvements extrémistes et les contrecoups à leur insu de part et d’autre des 2.500.000 km2 d’eau.
L’accélération des événements augmente à la fois la tension et la jouissance dans une ambivalence partagée de part et d’autre de la Méditerranée.
Mais à l’Est où l’enchevêtrement des conflits géopolitiques constitue une des causes essentielles indirectes de la plupart des grands attentats à grandes distances, la vue reste moins claire.
Et encore plus loin dans la même direction, un géant économique s’apprête à enlever son chapeau de paille sous lequel se débattent les pulsions. Il serait inutile de comparer le bruit fait par les 80 millions descendants des Pharaons avec celui des milliards et quelques de la culture de la soie.
En revenant à une Méditerranée Euro-Arabe traversée par la limite Nord/Sud entre pays du tiers monde et pays développés, un changement d’une telle ampleur pourrait avoir des répercussions sur la partie Nord de la rive où l’Union est encore trop jeune.
Si ce n’est pas une manifestation mondiale de la loi de série, ce sera alors un coup de maître en géopolitique qui a bien calculé ses gains dans trois continents d’une seule tire.
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