Paradiso Lussemburgo de Filip Markiewicz
Infos pratiques
Ca' Del Duca
San Marco Venise
Description
Paradiso Lussemburgo
de Filip Markiewicz BIENNALE DE VENISE 2015 9/05/2015 – 22/11/2015 Sur une proposition de Filip Markiewicz, l’exposition Paradiso Lussemburgo investira les espaces du Ca' del Duca pour représenter le Luxembourg à la 56e édition de la Biennale de Venise. Paul Ardenne en est le commissaire. Du 9 mai au 22 novembre 2015, Filip Markiewicz nous présente un portrait du Luxembourg dans un contexte européen et mondial comme une sorte d’échantillon de l’Europe où se mélangent un nombre important de nationalités et de cultures, qui constituent l’identité même du pays. A la fois laboratoire de création et lieu de divertissement culturel, le pavillon conçu sous l’égide de Filip Markiewicz va réunir arts plastiques, danse, cinéma, performance, DJing, lecture, architecture et musique. « Filip Markiewicz est de ces jeunes artistes qui font flèche de tout bois, son talent s’exprime de multiples manières : par le graphisme, le dessin, la peinture, l’installation, l’image mobile, la création d’ambiances et d’événements. C’est un artiste complet, qui use des médiums à sa disposition de manière souple et adaptée » révèle le critique d’art et commissaire du pavillon, Paul Ardenne. Par son titre, Paradiso Lussemburgo évoque tout à la fois le Paradis de Dante, le film Cinema Paradiso de Giuseppe Tornatore et le paradis fiscal. « Ce qui m’intéresse, c’est d’un côté l’aspect mythologique, proche de la fable, et d’un autre côté, l’aspect populaire. Les différentes vagues d’immigration enregistrées depuis le début du XXe siècle au Luxembourg ont amené à considérer ce pays comme une sorte de paradis en matière d’intégration. Ainsi la langue italienne retenue pour le titre fait-elle référence à l’histoire de l’art (Dante, le film Cinema Paradiso) et, tout autant, à la première vague d’immigration au Luxembourg. Encore, il y a une allusion forte à l’image que donnent certains médias étrangers du Luxembourg, celle du paradis fiscal, une thématique que j’entends traiter frontalement mais aussi avec une certaine ironie » explique l’artiste. Filip Markiewicz propose un parcours contrasté et multiple – annonces, dessins, film, speech corner… – de façon à plonger le spectateur dans la réalité complexe du Luxembourg. Celle d’un pays de tradition rurale mais hypermoderne, pionnier dans la voie de l’élargissement européen et intégré à l’actuelle économie-monde. Sorry, 250 x 150 cm, crayon sur papier, 2015 © Filip Markiewicz |
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