Amnesty International exhorte les membres du Parlement de Trinité-et-Tobago à voter contre un projet d’amendement de la Constitution qui autoriserait la reprise des exécutions dans le pays.
Aux termes de ce projet d’amendement, qui doit être débattu le 18 février, les tribunaux de Trinité-et-Tobago pourraient contourner les décisions de justice qui ont renforcé la protection des droits humains et conduit à l’arrêt des exécutions en 1999.
Selon les autorités de cette nation caribéenne, le fait de procéder à des exécutions constitue un moyen de remédier à la hausse du taux d’homicides et de dissuader toute personne de commettre des crimes violents.
Aux termes de ce projet d’amendement, qui doit être débattu le 18 février, les tribunaux de Trinité-et-Tobago pourraient contourner les décisions de justice qui ont renforcé la protection des droits humains et conduit à l’arrêt des exécutions en 1999.
Selon les autorités de cette nation caribéenne, le fait de procéder à des exécutions constitue un moyen de remédier à la hausse du taux d’homicides et de dissuader toute personne de commettre des crimes violents.