
Durant ce mois sacré, les croyants ayant l’âge requis s’abstiennent de boire et de manger (ainsi que de fumer et d’avoir des relations sexuelles) depuis l’aube jusqu’au coucher du soleil. Le jeûne du ramadan constitue l’un des cinq piliers de la religion avec la profession de foi, le pèlerinage à la Mecque, la prière et l’aumône. "Ne jeûnez que lorsque vous verrez le croissant lunaire et ne rompez le jeûne que lorsque vous le verrez aussi", aurait prescrit le Prophète dans un hadith (commentaire oral).
Il a été instauré pour célébrer la "nuit du destin", faisant référence à l’apparition de l’archange Gabriel ayant révélé le Coran (texte sacré de l’Islam) au prophète Mahomet. La privation a pour intérêt de favoriser la spiritualité et la réflexion, "c’est une pénitence qui permet d’oublier les querelles et de pardonner", d’après Slimane Zeghidour, chercheur à l’institut de relations internationales et stratégiques.
Lorsqu’il s’achève, il est commémoré par la fête de rupture du jeûne "l’Aïd el-Fitr", l’occasion de célébrations et de fêtes en famille et entre amis. Aussi considéré comme étant "le mois de la charité", les fidèles doivent s’acquitter d’une aumône la "Zakat al-Fitr".
Il a été instauré pour célébrer la "nuit du destin", faisant référence à l’apparition de l’archange Gabriel ayant révélé le Coran (texte sacré de l’Islam) au prophète Mahomet. La privation a pour intérêt de favoriser la spiritualité et la réflexion, "c’est une pénitence qui permet d’oublier les querelles et de pardonner", d’après Slimane Zeghidour, chercheur à l’institut de relations internationales et stratégiques.
Lorsqu’il s’achève, il est commémoré par la fête de rupture du jeûne "l’Aïd el-Fitr", l’occasion de célébrations et de fêtes en famille et entre amis. Aussi considéré comme étant "le mois de la charité", les fidèles doivent s’acquitter d’une aumône la "Zakat al-Fitr".