C’est un étrange ballet qui se joue, aux yeux de tous, entre les négociateurs grecs et européens, ces derniers appuyés par la BCE et le FMI.
Officiellement, il s’agit d’obtenir des premiers qu’ils acceptent les conditions imposées par les seconds. On connaît les avantages attendus de cette capitulation: montrer que l’UE ne prête qu’à des États qui acceptent la discipline européenne, ce qui montrera aux Espagnols, aux Portugais e...
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