Un entremet franco-hongrois sucré à point
On n'en démordra pas. Il faut, même pour l'opérette, de grandes voix dont seule l'ampleur permettra de chanter naturellement, sans ces efforts induisant automatiquement une perte ou un sacrifice de la qualité du chant de l'organe. Et pour cette "Princesse Czardas" d'Emmerich Kalman, encore plus.
On nage ici dans des eaux de vrai opéra, seule l'intrigue, actualisée avec esprit par Daniel Stirn et Mario Bois, renverra aux plus légères comédie...
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