Dimitri Konovalov et Vladislav Kovaliov ont été mis à mort en mars 2012 à Minsk, la capitale du Bélarus. Ils avaient été condamnés à la peine capitale le 30 novembre 2011 après avoir été déclarés coupables d'infractions en relation avec un attentat à la bombe en avril 2011. Leur procès a été critiqué car les normes internationales d'équité n'auraient pas été respectées.
"La peine de mort constitue le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit, ainsi qu'une violation des droits humains. Ne pas rendre les corps de ces deux hommes à leurs familles ajoute à la cruauté de la peine capitale", a déploré David Diaz-Jogeix, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
Le Bélarus est le seul pays d'Europe qui continue à prononcer des sentences de mort. Les condamnés sont exécutés d'une balle dans la nuque. Ils ne sont avertis que quelques heures, voire minutes, à l'avance.
Amnesty International s'oppose à la peine de mort en toutes circonstances, sans exception.
"La peine de mort constitue le châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit, ainsi qu'une violation des droits humains. Ne pas rendre les corps de ces deux hommes à leurs familles ajoute à la cruauté de la peine capitale", a déploré David Diaz-Jogeix, directeur adjoint du programme Europe et Asie centrale d'Amnesty International.
Le Bélarus est le seul pays d'Europe qui continue à prononcer des sentences de mort. Les condamnés sont exécutés d'une balle dans la nuque. Ils ne sont avertis que quelques heures, voire minutes, à l'avance.
Amnesty International s'oppose à la peine de mort en toutes circonstances, sans exception.
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