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Au moins 40 personnes ont été massacrées lors de la dernière opération en date, qui a eu lieu très tôt le 27 février dans les villages de Shuwa, Kirchinga et Michika, dans l’État d’Adamawa (nord-ouest du Nigeria).
"Les attaques s’intensifient depuis le début de l’année. Il est honteux que le gouvernement nigérian n’assure pas la protection des citoyens contre les attaques et les homicides illégaux. Les autorités ont l’obligation de protéger la vie et les biens des personnes dans toutes les circonstances. Tous les groupes armés qui sévissent dans le nord du Nigeria doivent mettre un terme immédiatement à ces attaques épouvantables", a déclaré Makmid Kamara, chercheur sur le Nigeria à Amnesty International.
Le 24 février, au moins 29 élèves et professeurs d’un établissement d’enseignement secondaire de l’État de Yobe, dans le nord-est du pays, ont été assassinés. Des adolescents ont succombé à leurs blessures à l’hôpital, portant le bilan de l’attaque à plus de 40 morts.
Plus de 600 personnes ont été tuées par des hommes armés que l’on soupçonne le plus souvent d’appartenir à Boko Haram.
"Les attaques s’intensifient depuis le début de l’année. Il est honteux que le gouvernement nigérian n’assure pas la protection des citoyens contre les attaques et les homicides illégaux. Les autorités ont l’obligation de protéger la vie et les biens des personnes dans toutes les circonstances. Tous les groupes armés qui sévissent dans le nord du Nigeria doivent mettre un terme immédiatement à ces attaques épouvantables", a déclaré Makmid Kamara, chercheur sur le Nigeria à Amnesty International.
Le 24 février, au moins 29 élèves et professeurs d’un établissement d’enseignement secondaire de l’État de Yobe, dans le nord-est du pays, ont été assassinés. Des adolescents ont succombé à leurs blessures à l’hôpital, portant le bilan de l’attaque à plus de 40 morts.
Plus de 600 personnes ont été tuées par des hommes armés que l’on soupçonne le plus souvent d’appartenir à Boko Haram.
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