Japon: Des exécutions qui montrent la faiblesse du gouvernement

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Par J.N.B.L. Rédigé le 12/08/2012 (dernière modification le 10/08/2012)

Après n’avoir procédé à aucune exécution en 2011, le Japon a déjà exécuté cinq personnes cette année rejoignant ainsi résolument la minorité de pays qui continuent d’utiliser la peine capitale.


En réaction à l’exécution de Junya Hattori et Kyozo Matumura à Tokyo et Osaka, Roseann Rifz, responsable des projets spéciaux à Amnesty International a déclaré: "La décision des autorités japonaises de procéder à deux nouvelles exécutions est extrêmement regrettable."

Makoto Taki est le deuxième ministre de la Justice à autoriser des exécutions en 2012.

"Les dirigeants japonais préfèrent se réfugier derrière l’opinion publique plutôt que de faire preuve de courage politique et d’œuvrer à l’abolition du châtiment le plus cruel, inhumain et dégradant qui soit que constitue la peine de mort."

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