Le 9 et 10 novembre aux monument aux morts de Nice à Rauba Capeu le souvenir Français organise les flammes de la mémoire en présence des enfants des écoles

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Par laurenti06@hotmail.com Rédigé le 05/11/2008 (dernière modification le 19/01/2009)

Le 9 et 10 novembre aux monument aux morts de Nice à Rauba Capeu le souvenir Français organise les flammes de la mémoire en présence des enfants des écoles


Historique

Il y a 90 ans, le 11 novembre 1918, l’Armistice signé en forêt de Compiègne mettait fin à la guerre la plus meurtrière de l’histoire mondiale.
Dans les contrées martyres où se déroulèrent les combats s’étendent par centaines cimetières, nécropoles, carrés militaires où reposent des centaines de milliers de corps de combattants de la Première guerre mondiale, souvent entremêlés.

Dans chaque ville, dans chaque village, un monument s’élève, dernier témoignage d’une époque sanglante, sur lequel s’égrènent les noms des hommes ayant laissé leur jeune vie dans l’âpreté des combats.

La disparition du dernier poilu ne doit pas être une tentation, pour certains, de refermer ce pan de notre histoire, et d’enterrer définitivement notre mémoire collective : en chaque français une flamme doit perpétuer cette mémoire.

C’est au prix du sang versé que les Français d’alors ont défendu leur patrie, c’est à dire le « pays de leurs pères ». Sans ces Français, les États libres d’aujourd’hui seraient sous le joug de l’envahisseur d’alors : ils n’existeraient plus !

Lors de la Première bataille de la Marne, la France et les Français étaient seuls à combattre avec une poignée de soldats britanniques et seuls ils ont vaincu l’envahisseur pour défendre la Liberté du monde.

Les soldats de la Grande Guerre ne doivent pas mourir une seconde fois. Aussi, il convient de rompre le silence et l’indifférence qui semble peser sur ces hommes, nos aînés, qui ont donné leur vie pour Nous, hommes libres, grâce à eux.

Chaque 11 novembre est un jour de congé, un jour férié ; mais ce n’est pas une fête ordinaire. Ce jour de congé existe parce que des centaines de milliers d’hommes sont morts pour la France et des dizaines de milliers d’autres sont revenus gazés, amputés, mutilés dans leur chair.

Il est venu le temps pour que le peuple français tout entier célèbre dans le recueillement la mémoire de leurs pères. La commémoration de l’armistice du 11 novembre est l’affaire de tous, jeunes et moins jeunes

Les rares secondes de reportage diffusées sur les manifestations des Champs-Élysées et dans la Clairière de l’Armistice ne doivent plus suffire à se donner bonne conscience.

Il faut se mobiliser, partout en France, pour que ceux qui nous gouvernent comprennent notre attachement à certaines valeurs. La population tout entière, doit être associée à l’événement. Tous, ensemble, nous devons être les porte-drapeaux de notre mémoire collective.

Pour ce faire, l’association des Amis des Flammes de la Mémoire a été créée, au cœur des Batailles de l’Artois, près de Notre-Dame de Lorette la plus importante nécropole nationale 1914-1918. Rejoignez-la !

Mais dès à présent, Les Amis des Flammes de la Mémoire vous lance un appel :

En novembre prochain, partout en France, vous aurez à cœur de pérenniser la mémoire des poilus de la Grande Guerre.

Par un geste simple, mais ô combien symbolique, vous manifesterez votre attachement envers ces hommes de toutes conditions sociales et de toutes origines, disparus dans la tourmente guerrière et qui sont encore aujourd’hui un exemple pour la jeunesse

En novembre prochain, il vous suffira de planter un petit drapeau aux couleurs de la France devant la tombe d’un soldat, au pied du monument au morts de votre commune ou sur un des nombreux champs de bataille de la Première guerre mondiale.

Votre petit drapeau sera la Flamme de votre Mémoire symbolisant votre respect et reconnaissance, signe visible que les sacrifices de nos anciens ne tomberont pas dans l’oubli malgré 90 années écoulées.

Aucun poilu ne devrait être oublié

http://www.flammesdelamemoire.fr
http://www.souvenir-francais.fr/





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