Le destin d'une écrivaine


Par Rédigé le 16/02/2016 (dernière modification le 16/02/2016)

Il y a un an, le 6 février 2015, Assia Djebar, écrivaine algérienne, nous quittait à jamais laissant derrière elle un héritage culturel considérable pour les générations futures.


Assia Djebar. Photo (c) Maverich 003

Destin d'une écrivaine.mp3  (743.25 Ko)

Le mercredi 10 février 2016, un vibrant hommage a été rendu à Assia Djebar, romancière de renommée internationale dont les œuvres en langue française ont été traduites en plusieurs langues.
Cet hommage qui marque le premier anniversaire de son décès a été organisé par la mairie de Paris en collaboration avec le cercle des amis d’Assia Djebar, l’association "Les archives de Claude Simon", en présence de nombreuses personnalités du monde culturel et des membres de sa famille. Au cours de cette journée, deux tables rondes ont été organisées. Après avoir écouté les chants de Taous Amrouche, poétesse berbère, des extraits des romans de cette figure marquante de la culture algérienne ont été lu par le réalisateur, comédien et écrivain Daniel Mesguich, l’artiste Djurdjura et le comédien Patrick Potot.
Aussi, les intervenants ont essayé de cerner les grands traits de l’œuvre de cette intellectuelle qui écrivait avec "un sentiment d’urgence contre la régression et la misogynie", mondialement connue mais marginalisée dans son pays d’origine.
Enfin, pour clôturer cette cérémonie, les participants ont eu le plaisir d’assister à la projection d’un extrait du film "Assia Djebar, la soif d’écrire" qui relate les moments forts de son élection à l’Académie française.






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