(c) Christian Larivière
Le député communiste et président du groupe Gauche démocrate et républicaine à l'Assemblée André Chassaigne a déclaré à L'Humanité: "Nous sommes extrêmement mobilisés et offensifs" contre le projet de loi retranscrivant l'Accord National Interprofessionnel (ANI) sur la sécurisation de l'emploi.
Dans une interview publiée ce mardi 2 avril au moment où le Parlement commence l'examen du texte signé par le patronat et une partie des syndicats en janvier, il annonce que les 4500 amendements préparés par le Front de Gauche doivent permettre "de mener le débat sur le fond et de faire valoir publiquement nos propositions alternatives".
"Ce texte porte un coup très dur à toutes l'organisation sociale de notre pays, met en cause l'ensemble de l'architecture de la protection des salariés et joue contre l'emploi", estime-t-il. "Notre premier objectif c'est le retrait total du texte", souligne le député communiste du FG ou au moins en "limiter au maximum les conséquences néfastes".
Michel Sapin, ministre du Travail, appelle, quant à lui, à trouver "le bon réglage" sur ce qui peut être "bougé" dans le texte, sans que les amendements des parlementaires ne remettent en cause la cohésion du projet de loi.
Source: Usinenouvelle
Informations en vidéo ci-dessous
Dans une interview publiée ce mardi 2 avril au moment où le Parlement commence l'examen du texte signé par le patronat et une partie des syndicats en janvier, il annonce que les 4500 amendements préparés par le Front de Gauche doivent permettre "de mener le débat sur le fond et de faire valoir publiquement nos propositions alternatives".
"Ce texte porte un coup très dur à toutes l'organisation sociale de notre pays, met en cause l'ensemble de l'architecture de la protection des salariés et joue contre l'emploi", estime-t-il. "Notre premier objectif c'est le retrait total du texte", souligne le député communiste du FG ou au moins en "limiter au maximum les conséquences néfastes".
Michel Sapin, ministre du Travail, appelle, quant à lui, à trouver "le bon réglage" sur ce qui peut être "bougé" dans le texte, sans que les amendements des parlementaires ne remettent en cause la cohésion du projet de loi.
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