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Les éditions Anamosa qui sont nées en mars 2016 ont pour but d’explorer en partie les champs de la société et de l’histoire avec une ouverture sur le monde ainsi que sur les cultures populaires. La maison d’édition a voulu pour cela promouvoir des façons neuves de faire exister le passé dans le présent. Avec notamment l’intention de montrer que les sciences humaines sont un outil pour comprendre le monde. Et pourquoi pas le changer?
"Anamosa signifie, chez les Sauks, tribu amérindienne: "Tu marches avec moi". Et il s’agit bien de cela pour les éditions Anamosa: marcher et suivre une ligne ensemble grâce aux livres, avec les auteurs, avec les libraires et tous les professionnels du livre, avec les lecteurs", nous confie la maison d'édition.
"Anamosa signifie, chez les Sauks, tribu amérindienne: "Tu marches avec moi". Et il s’agit bien de cela pour les éditions Anamosa: marcher et suivre une ligne ensemble grâce aux livres, avec les auteurs, avec les libraires et tous les professionnels du livre, avec les lecteurs", nous confie la maison d'édition.
Des livres sociétaux
Diffusée et distribuée par Volumen, la maison a publié depuis mars 2016 de six à dix livres par an et deux revues, l’une consacrée à la musique, Delta t (juin 2016), l’autre ouvrira aux sciences sociales un espace d’exploration du sensible, Sensibilités, Histoire, critique & sciences sociales (octobre 2016).
Les deux premiers ouvrages ont pu paraître en mars 2016: "Le Louvre insolent", de Cécile Baron et François Ferrier, illustré, érudit et drôle, préfacé par Jacques-Pierre Amette, et "La Paix des ménages", "Histoire des violences conjugales, XIXe-XXIe siècles", de Victoria Vanneau. Ont suivi en mai 2016, "Débordements. Sombres histoires de football 1938-2016" d’Olivier Villepreux, Samy Mouhoubi et Frédéric Bernard, et "Les émeutes raciales de Chicago", juillet 1919, de Carl Sandburg.
Dernièrement, plusieurs ouvrages ont épaissi la collection d'Anamosa. Comme le livre de chronique sur le Bataclan "Mémoire vive" de Sarah Gensburger, "A voté, une histoire d'élection" de Laurent Le Gall, ou encore "Corps d'été, une histoire politique" de Christophe Granger.
À travers ces nombreux ouvrages, la maison d'édition Anamosa entend poser son regard sur les maux et le fonctionnement de la société du XXIe siècle pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. Et ce dans un intérêt collectif.
Les deux premiers ouvrages ont pu paraître en mars 2016: "Le Louvre insolent", de Cécile Baron et François Ferrier, illustré, érudit et drôle, préfacé par Jacques-Pierre Amette, et "La Paix des ménages", "Histoire des violences conjugales, XIXe-XXIe siècles", de Victoria Vanneau. Ont suivi en mai 2016, "Débordements. Sombres histoires de football 1938-2016" d’Olivier Villepreux, Samy Mouhoubi et Frédéric Bernard, et "Les émeutes raciales de Chicago", juillet 1919, de Carl Sandburg.
Dernièrement, plusieurs ouvrages ont épaissi la collection d'Anamosa. Comme le livre de chronique sur le Bataclan "Mémoire vive" de Sarah Gensburger, "A voté, une histoire d'élection" de Laurent Le Gall, ou encore "Corps d'été, une histoire politique" de Christophe Granger.
À travers ces nombreux ouvrages, la maison d'édition Anamosa entend poser son regard sur les maux et le fonctionnement de la société du XXIe siècle pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. Et ce dans un intérêt collectif.
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