Amnesty International considère l'ordre donné jeudi 1er décembre par la haute cour du Gujarat au Bureau central d'enquêtes (CBI) de procéder à des investigations sur les homicides par balle de quatre suspects "terroristes" en 2004 comme un bon début.
"La décision rendue aujourd'hui par la haute cour offre une lueur d'espoir aux familles d'Ishrat Jehan et de Javed Shaikh, qui mènent une bataille juridique depuis sept ans", a souligné Ramesh Gopalakrishnan, chargé de recherches sur l'Asie du Sud à Amnesty International.
Les circonstances de la mort d'Ishrat Jehan et de Javed Shaikh, abattus par des policiers, feront l'objet d'une enquête du CBI. Cependant, Amnesty International demande qu'une enquête approfondie soit menée sur 31 homicides commis par des policiers dans l'État du Gujarat entre 2002 et 2006.
"L'ouverture d'enquêtes sur quelques cas sélectionnés, alors que tant d'autres ne sont pas pris en considération, montre que l'impunité continue de régner au Gujarat. Il faut que les autorités enquêtent sur les 31 homicides illégaux commis par la police entre 2002 et 2006, que les responsable présumés de ces actes soient traduits en justice et que l'état de droit soit rétabli", a ajouté Ramesh Gopalakrishnan.
"La décision rendue aujourd'hui par la haute cour offre une lueur d'espoir aux familles d'Ishrat Jehan et de Javed Shaikh, qui mènent une bataille juridique depuis sept ans", a souligné Ramesh Gopalakrishnan, chargé de recherches sur l'Asie du Sud à Amnesty International.
Les circonstances de la mort d'Ishrat Jehan et de Javed Shaikh, abattus par des policiers, feront l'objet d'une enquête du CBI. Cependant, Amnesty International demande qu'une enquête approfondie soit menée sur 31 homicides commis par des policiers dans l'État du Gujarat entre 2002 et 2006.
"L'ouverture d'enquêtes sur quelques cas sélectionnés, alors que tant d'autres ne sont pas pris en considération, montre que l'impunité continue de régner au Gujarat. Il faut que les autorités enquêtent sur les 31 homicides illégaux commis par la police entre 2002 et 2006, que les responsable présumés de ces actes soient traduits en justice et que l'état de droit soit rétabli", a ajouté Ramesh Gopalakrishnan.
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