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Si l'UE s'est engagée à peser "de tout son poids pour soutenir les défenseurs de la liberté, de la démocratie et des droits humains partout dans le monde" et à aborder les préoccupations relatives aux droits humains à toutes les rencontres bilatérales, la question des violations de ces droits ne figurait pas à l'ordre du jour de la rencontre des ministres européens avec le Conseil de coopération du Golfe (CCG), pas plus qu'elle n'apparaît dans les déclarations de l'UE.
"Bahreïn s'est engouffré dans une crise des droits humains: les opposants sont incarcérés, les manifestations réprimées, la torture est monnaie courante et l'impunité endémique. Pourtant, les autorités de Bahreïn préfèrent investir dans les relations publiques plutôt que de faire face à leur bilan déplorable en termes de droits humains", a indiqué Nicolas Beger, directeur du Bureau des institutions européennes d'Amnesty International.
"Bahreïn s'est engouffré dans une crise des droits humains: les opposants sont incarcérés, les manifestations réprimées, la torture est monnaie courante et l'impunité endémique. Pourtant, les autorités de Bahreïn préfèrent investir dans les relations publiques plutôt que de faire face à leur bilan déplorable en termes de droits humains", a indiqué Nicolas Beger, directeur du Bureau des institutions européennes d'Amnesty International.