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Adopté par le Sénat burundais plus tôt dans le mois, le projet de loi, qui définit de nouvelles infractions liées aux métiers de la presse et prévoit des amendes exorbitantes pour les journalistes qui les commettraient, semble prêt à être promulgué par le président.
Ce texte restreint le droit de couvrir des sujets liés à la sécurité publique ou à la sûreté nationale et de diffuser des informations qui menacent l'économie ou "insultent le président".
"La liberté d'expression au Burundi est gravement menacée par cette loi répressive, qui se prête aux abus et place les journalistes à la merci des autorités", a déclaré Netsanet Belay, directeur d'Amnesty International pour l'Afrique.
Ce texte restreint le droit de couvrir des sujets liés à la sécurité publique ou à la sûreté nationale et de diffuser des informations qui menacent l'économie ou "insultent le président".
"La liberté d'expression au Burundi est gravement menacée par cette loi répressive, qui se prête aux abus et place les journalistes à la merci des autorités", a déclaré Netsanet Belay, directeur d'Amnesty International pour l'Afrique.