"Le jour attendra" est le premier film d’Edgar Marie. C’est sa rencontre avec Olivier Marchal qui a véritablement lancé sa carrière. Il a rédigé le scénario des Lyonnais et s’est associé également à l’ancien policier pour Braquo. Il n’est donc pas étonnant que pour ses débuts derrière la caméra, Edgar Marie ait fait appel au réalisateur de "36 quai des Orfèvres". Dans la plupart de ses rôles au cinéma, Olivier Marchal interprète des policiers ou des voyous. Edgar Marie a voulu cette fois mettre en avant son côté enfant et sa joie de vivre. Mais le personnage de Milan se révèle finalement très différent de l’acteur, permettant ainsi à ce dernier de montrer l’étendue de son talent: "Malgré tout ce que l’on dit et croit de moi, je ne lui ressemble pas... Bien sûr je suis fêtard, je picole, j’adore les potes, je suis un bulldozer capable d’encaisser beaucoup de choses, de travailler énormément tout en dormant quatre heures par nuit, mais Milan ne me plaît pas totalement humainement!"
Avant de devenir scénariste, Edgar Marie a travaillé comme organisateur de soirées dans plusieurs boîtes de nuit parisiennes. Il connaît donc bien le milieu qu’il met en scène dans "Le jour attendra". Le club dont il s’est principalement occupé, le Shéhérazade, a été rendu célèbre pour avoir accueilli le tournage de l’émission de Thierry Ardisson "Lunettes noires pour nuits blanches" à la fin des années 80. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait choisi la musique de son film avec autant d’attention. Edgar Marie a participé activement à l'élaboration de la bande-originale de son premier long-métrage. A l'instar de Drive, qui a révélé Kavinsky, le réalisateur a surtout utilisé de la musique électronique, rarement mise en avant dans le cinéma français. Dans "Le jour attendra", on peut entendre Yuksek, C2C ou encore Vitalic et le tube Brother des Stuck in the Sound. La bande originale du film révèle parfaitement l’atmosphère du film, polar musclé et haletant, course folle à travers le monde des clubs et de la nuit.
Titres:
01 Something a la mode "Tracey's Interlude"
02 Apparat "Circles"
03 Swayzak "State of Grace"
04 C2C "Down the Road"
05 Lindstrom "I Feel Space"
06 Moderat "A New Error"
07 Yuksek "On a train"
08 Spitzer "Sergen"
09 Vitalic "Second Lives"
10 Something A La Mode "Dies Irae"
11 Something A La Mode "Fucking Friend part two"
12 Stuck In the Sound "Brother"
Avant de devenir scénariste, Edgar Marie a travaillé comme organisateur de soirées dans plusieurs boîtes de nuit parisiennes. Il connaît donc bien le milieu qu’il met en scène dans "Le jour attendra". Le club dont il s’est principalement occupé, le Shéhérazade, a été rendu célèbre pour avoir accueilli le tournage de l’émission de Thierry Ardisson "Lunettes noires pour nuits blanches" à la fin des années 80. Il n’est donc pas étonnant qu’il ait choisi la musique de son film avec autant d’attention. Edgar Marie a participé activement à l'élaboration de la bande-originale de son premier long-métrage. A l'instar de Drive, qui a révélé Kavinsky, le réalisateur a surtout utilisé de la musique électronique, rarement mise en avant dans le cinéma français. Dans "Le jour attendra", on peut entendre Yuksek, C2C ou encore Vitalic et le tube Brother des Stuck in the Sound. La bande originale du film révèle parfaitement l’atmosphère du film, polar musclé et haletant, course folle à travers le monde des clubs et de la nuit.
Titres:
01 Something a la mode "Tracey's Interlude"
02 Apparat "Circles"
03 Swayzak "State of Grace"
04 C2C "Down the Road"
05 Lindstrom "I Feel Space"
06 Moderat "A New Error"
07 Yuksek "On a train"
08 Spitzer "Sergen"
09 Vitalic "Second Lives"
10 Something A La Mode "Dies Irae"
11 Something A La Mode "Fucking Friend part two"
12 Stuck In the Sound "Brother"