Hypnolove aurait pu être un nom de Pokémon, mais c’est le sobriquet que trois zigotos azimutés ont choisi. Ils sont de Toulouse, deux sont d’origine portugaise ou allemande (Henning), ce qui explique un drôle de petit air d’Eurovision sur "Eurolove", leur délirant premier album.
Ça, c’était en 2006, deux ans avant que Sébastien Tellier n’apparaisse lui-même dans ce grand festival du kitsch.
Le kitsch, c’est d’ailleurs une des grandes questions de cette pop empruntant à l’eurodance, à l’italo-disco et même au zouk. "Kitsch, ça implique une ironie qu’on n’a pas du tout. C’est comme si on n’assumait pas quelque chose, alors qu’on est toujours très sincères."
Le résultat de ce décalage à froid, c’est une musique complètement décomplexée, entre Club Med ("Holiday Reverie" et "Winter in the Sun") et démons nocturnes errant sur la plage ("Simple", "Classic", "Beautiful" et "Goodnight Kiss").
Ça, c’était en 2006, deux ans avant que Sébastien Tellier n’apparaisse lui-même dans ce grand festival du kitsch.
Le kitsch, c’est d’ailleurs une des grandes questions de cette pop empruntant à l’eurodance, à l’italo-disco et même au zouk. "Kitsch, ça implique une ironie qu’on n’a pas du tout. C’est comme si on n’assumait pas quelque chose, alors qu’on est toujours très sincères."
Le résultat de ce décalage à froid, c’est une musique complètement décomplexée, entre Club Med ("Holiday Reverie" et "Winter in the Sun") et démons nocturnes errant sur la plage ("Simple", "Classic", "Beautiful" et "Goodnight Kiss").