L’INTERFACE CERVEAU MACHINE ET LES POTENTIELS EVOQUES
VI. CONSTATATION
la constatation pour commander 2 degré de liberté (2DDL) par des commandes de haut niveau telles que 0/1 en utilisant rien que le phénomène P300, il suffit de commander successivement 1ddl après l’autre, mais il faut seulement changer l’espace (on change l’hyperplan), et la même idée pour commander nDDL par des commandes de haut niveau.
Tout d’abord un processus de sélection de canaux est mis en œuvre, ensuite on va identifier la présence ou non d’un P300 dans les signaux EEG qui sont fortement bruités, On va présenter l’algorithme proposé et même les résultats qui montrent que notre procédure est très prometteuse et pour la phase de classification on utilise une méthode qui a prouvé son efficacité ces dix dernières années c’est la méthode Support Vector Machines (SVM).
Si on veut réaliser une ICM dépassant 1DDL en se basant sur le P300 et en utilisant la constatation déjà citée, on aura une ICM:
o Lente vis-à-vis à la durée du temps de réponse.
o Exige la répétition pour prendre une décision.
o La synchronisation est fatigante pour l’handicapé.
o Commande discrète (demande un changement d’espace) pour une commander qui dépasse le 1DDL.
Mais le vrai problème qu’on n’a pas une basse de données pour la commande de 2ddl, et on ne peut pas construire notre basse de données (manque de système d’acquisition).
Alors pourquoi ne pas penser à une ICM asynchrone qui répond à:
o La notion de temps réel.
o Commande continue (commande possible 1/2DDL).
o Basant sur le but plus que le mouvement.
Remerciements : Cette publication reflète uniquement le point de vue des auteurs.
Voir l'article précédent
la constatation pour commander 2 degré de liberté (2DDL) par des commandes de haut niveau telles que 0/1 en utilisant rien que le phénomène P300, il suffit de commander successivement 1ddl après l’autre, mais il faut seulement changer l’espace (on change l’hyperplan), et la même idée pour commander nDDL par des commandes de haut niveau.
Tout d’abord un processus de sélection de canaux est mis en œuvre, ensuite on va identifier la présence ou non d’un P300 dans les signaux EEG qui sont fortement bruités, On va présenter l’algorithme proposé et même les résultats qui montrent que notre procédure est très prometteuse et pour la phase de classification on utilise une méthode qui a prouvé son efficacité ces dix dernières années c’est la méthode Support Vector Machines (SVM).
Si on veut réaliser une ICM dépassant 1DDL en se basant sur le P300 et en utilisant la constatation déjà citée, on aura une ICM:
o Lente vis-à-vis à la durée du temps de réponse.
o Exige la répétition pour prendre une décision.
o La synchronisation est fatigante pour l’handicapé.
o Commande discrète (demande un changement d’espace) pour une commander qui dépasse le 1DDL.
Mais le vrai problème qu’on n’a pas une basse de données pour la commande de 2ddl, et on ne peut pas construire notre basse de données (manque de système d’acquisition).
Alors pourquoi ne pas penser à une ICM asynchrone qui répond à:
o La notion de temps réel.
o Commande continue (commande possible 1/2DDL).
o Basant sur le but plus que le mouvement.
Remerciements : Cette publication reflète uniquement le point de vue des auteurs.
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