Parmi eux, un seul sera retenu le 4 novembre, et ce jour-là on saura enfin qui succédera à Kamel Daoud qui avait reçu le prestigieux prix en 2024 pour son roman, Houris paru chez Gallimard et dont il a vendu 390.000 exemplaires.
Le jury Goncourt composé de Christine Angot, Pierre Assouline, Tahar Ben Jelloun, Pascal Bruckner, Paule Constant, Françoise Chandernagor, Didier Decoin, Camille Laurens, Eric-Emmanuel Schmitt, et présidé par Philippe Claudel s’est réuni le mercredi 3 septembre chez Drouant.
On remarque que les auteurs dont les ouvrages ont été abondamment cités par la presse sont présents dans cette liste où ils apparaissent par ordre alphabétique.
Par ailleurs, quelques découvertes ont été sélectionnées, Guillaume Poix, ancien Prix Wepler, Hélène Laurain, David Thomas. Quant à David Deneufgermain et Paul Gasnier, il s’agit de la publication de leur premier livre.
En ce qui concerne les éditeurs, Grasset est absent. Stock et Gallimard ont deux titres chacun. Des maisons d’édition moins connues ou moins importantes telles Marchialy, Verdier ou Verticales sont en lice.
Ces quinze auteurs concourent également pour le Goncourt des lycéens créé en 1988.
Un changement est intervenu, le roman n’est plus dominant et plusieurs titres fort remarqués ne sont pas des fictions, par exemple "La Nuit au cœur" de Nathacha Apannah ou "Kolkhoze", d’Emmanuel Carrère.
Dans ce dernier ouvrage, l'auteur évoque sa famille et c’est aussi l’un des nombreux titres de cette rentrée littéraire avec la mère pour sujet. Il s ‘agit ici d’Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie française, morte en 2023 à 94 ans.
Précisons que si Emmanuel Carrère remportait le prix Goncourt, il a déjà reçu le Femina en 1995 pour "La classe de neige" et le Renaudot en 2011 pour "Limonov", il serait alors le premier à réaliser un tel record.
Comme on le sait, l’heureux lauréat du Prix Goncourt ne reçoit qu’un chèque de 10€. Et personne n’ignore que l’ouvrage primé se vend à des centaines de milliers d’exemplaires sans compter que Noël et le Jour de l’an sont proches….
Cette sélection de 15 candidats sera réduite à 8 le mardi 7 octobre puis à 4 le 28 octobre.
Nathacha APPANAH, La nuit au coeur (Gallimard)
Emmanuel CARRÈRE, Kolkhoze (P.O.L)
David DENEUFGERMAIN, L’adieu au visage (Marchialy)
David DIOP, Où s’adosse le ciel (Julliard)
Ghislaine DUNANT, Un amour infini (Albin Michel)
Paul GASNIER, La collision (Gallimard)
Yanick LAHENS, Passagères de nuit (Sabine Wespieser)
Caroline LAMARCHE, Le bel obscur (Seuil)
Hélène LAURAIN, Tambora (Verdier)
Charif MAJDALANI, Le nom des rois (Stock)
Laurent MAUVIGNIER, La maison vide (Minuit)
Alfred de MONTESQUIOU, Le crépuscule des hommes (Robert Laffont)
Guillaume POIX, Perpétuité (Verticales)
Maria POURCHET, Tressaillir (Stock)
David THOMAS, Un frère (L’Olivier)
Le jury Goncourt composé de Christine Angot, Pierre Assouline, Tahar Ben Jelloun, Pascal Bruckner, Paule Constant, Françoise Chandernagor, Didier Decoin, Camille Laurens, Eric-Emmanuel Schmitt, et présidé par Philippe Claudel s’est réuni le mercredi 3 septembre chez Drouant.
On remarque que les auteurs dont les ouvrages ont été abondamment cités par la presse sont présents dans cette liste où ils apparaissent par ordre alphabétique.
Par ailleurs, quelques découvertes ont été sélectionnées, Guillaume Poix, ancien Prix Wepler, Hélène Laurain, David Thomas. Quant à David Deneufgermain et Paul Gasnier, il s’agit de la publication de leur premier livre.
En ce qui concerne les éditeurs, Grasset est absent. Stock et Gallimard ont deux titres chacun. Des maisons d’édition moins connues ou moins importantes telles Marchialy, Verdier ou Verticales sont en lice.
Ces quinze auteurs concourent également pour le Goncourt des lycéens créé en 1988.
Un changement est intervenu, le roman n’est plus dominant et plusieurs titres fort remarqués ne sont pas des fictions, par exemple "La Nuit au cœur" de Nathacha Apannah ou "Kolkhoze", d’Emmanuel Carrère.
Dans ce dernier ouvrage, l'auteur évoque sa famille et c’est aussi l’un des nombreux titres de cette rentrée littéraire avec la mère pour sujet. Il s ‘agit ici d’Hélène Carrère d’Encausse, secrétaire perpétuel de l’Académie française, morte en 2023 à 94 ans.
Précisons que si Emmanuel Carrère remportait le prix Goncourt, il a déjà reçu le Femina en 1995 pour "La classe de neige" et le Renaudot en 2011 pour "Limonov", il serait alors le premier à réaliser un tel record.
Comme on le sait, l’heureux lauréat du Prix Goncourt ne reçoit qu’un chèque de 10€. Et personne n’ignore que l’ouvrage primé se vend à des centaines de milliers d’exemplaires sans compter que Noël et le Jour de l’an sont proches….
Cette sélection de 15 candidats sera réduite à 8 le mardi 7 octobre puis à 4 le 28 octobre.
Nathacha APPANAH, La nuit au coeur (Gallimard)
Emmanuel CARRÈRE, Kolkhoze (P.O.L)
David DENEUFGERMAIN, L’adieu au visage (Marchialy)
David DIOP, Où s’adosse le ciel (Julliard)
Ghislaine DUNANT, Un amour infini (Albin Michel)
Paul GASNIER, La collision (Gallimard)
Yanick LAHENS, Passagères de nuit (Sabine Wespieser)
Caroline LAMARCHE, Le bel obscur (Seuil)
Hélène LAURAIN, Tambora (Verdier)
Charif MAJDALANI, Le nom des rois (Stock)
Laurent MAUVIGNIER, La maison vide (Minuit)
Alfred de MONTESQUIOU, Le crépuscule des hommes (Robert Laffont)
Guillaume POIX, Perpétuité (Verticales)
Maria POURCHET, Tressaillir (Stock)
David THOMAS, Un frère (L’Olivier)











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