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Des nids de réalité en physique fondamentale

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Par Marc-Antoine Jeulliau Rédigé le 23/08/2013 (dernière modification le 23/08/2013)

Une erreur absolue: le tout est relatif remis en cause par l'expérimentation.


Après des siècles d’évolution les connaissances acquises dans l’esprit scientifique sur l’espace intersidéral permettent de reconnaitre aujourd’hui ce dernier comme l’équivalent du plus grand laboratoire contenant le plus puissant instrument de physique expérimentale de notre univers.

Des tas d’évènements observés et reconnus comme renouvelables uniquement dans un tel environnement s’y déroulent inlassablement. Impossibles à reproduire à notre humaine échelle ces évènements sont pourtant scientifiquement interprétables et ainsi devenus compréhensibles par, sinon le commun des mortels, du moins chez ceux-ci par qui a pu boucler un bagage d’études analogue à celui dit du second cycle.

Traduire de telles expériences sur le papier - sans trahir la démarche scientifique - c’est les reproduire en pensée. Ainsi en science, faire une expérience de pensée n’est donc qu’imaginer dans le cadre des connaissances reconnues une expérience logiquement reproductible et ainsi en tirer des résultats scientifiquement valides pour notre époque. En le domaine Galilée apparait comme précurseur, et comme tout maitre sur le chemin d’une vérité universelle encore à scientifiquement découvrir il n’a pu être que dépassé par ses meilleurs élèves. En l’espèce pourtant nous pouvons admettre que l’un d’eux, Einstein, ne lui a pas jeté la pierre alors qu’il était, plus sereinement sans aucun doute, en mesure de le corriger.

C’est que le père de la relativité généralisée a été nobélisé pour avoir expliqué et formalisé l’effet photoélectrique et ainsi postulé et mis en évidence ce que nous appelons aujourd’hui le photon, ce quantum du domaine de l’électromagnétisme auquel appartient la lumière.

Il est donc scientifiquement admis de nos jours que la lumière est constituée de photons ondes-corpuscules ne possédant pas de masse observable, donc pas d’inertie ; que ces photons se propagent/déplacent dans l’espace à une vitesse approximative de 300 000 km/s ; que dans cet espace vide de tout champ de gravitation, c’est-à-dire loin de tout astre produisant un tel champ de force, autrement dit encore dans l’espace-temps scientifiquement observé comme plat par le satellite Planck, ladite lumière se déplace sur une trajectoire rectiligne pouvant être appréhendée dans le cadre de la géométrie euclidienne, et cela "depuis son point d’émission/création".

Ainsi, plus simplement (voire trivialement) et pour être "un tant soit peu" compris de tous: la science sait aujourd’hui produire des photons un par un, photons qui, lorsqu’ils sont émis dans un espace vide de tout champ de force gravitationnel, se propagent/déplacent depuis leur point d’émission/création sur une trajectoire représentée par l’euclidienne ligne droite.

Ne possédant pas de masse ces photons ne possèdent par conséquent aucune inertie ce qui, dans le cas contraire et lorsqu’ils sont émis perpendiculairement (normalement) à la trajectoire spatiale de leur source, aurait pour corolaire de reconnaitre qu’une seconde composante participe à leur vitesse, composante qui aboutirait à vouloir donner à celle-ci une valeur résultante supérieure à "C".

Ainsi, si les photons de lumière possédaient une inertie et s’ils étaient ainsi amenés à devoir "suivre" un émetteur se déplaçant sur une trajectoire perpendiculaire à leur ligne de propagation/déplacement, ils pourraient être amenés à éclairer des objets éloignés d’eux dans l’espace et le temps de plusieurs secondes-lumière en suivant une diagonale dans un plan représentant ce phénomène éventuel, ce qui n’a jamais été observé. Et pour cause. (cf. les premières études sur l’aberration de la lumière des étoiles.)

Tout ceci pour servir d’introduction à une expérience cruciale qui se trouve être, avec les instruments contemporains, un remake d’une expérience qu’aurait faite Galilée en son temps et qui l’avait poussé à conclure et écrire que LE MOUVEMENT ÉTAIT COMME RIEN. Autrement dit à donner le coup d’envoi des théories relativistes.










1.Posté par Cédric DE BRINCAT le 24/08/2013 01:48 | Alerter
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Il est assez excitant de réaliser combien, dans le même temps où les connaissances sur les partic...  

2.Posté par Marc-Antoine Jeulliau le 29/08/2013 20:31 | Alerter
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Le contenu de cet article aurait dû faire un buzz depuis qu'il a été soumis à quelques universita...  

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